Quand exposer, c’est paysager. L’« effet parc littéraire » à travers l’exemple de Gabriele D’Annunzio

Les parcs littéraires – présentés ou non sous ce désignant connaissent un certain essor, depuis une trentaine d’années, en tant que supports de médiation culturelle et patrimonialisation des écrivains. En cherchant à cumuler l’exposition littéraire avec multiples expériences plein air, comme le tourisme, la randonnée l’écologie, ces illustrent tendance contemporaine diversifier les pratiques dans creuset d’une « paysagisation » au sein laquelle littérature prend, selon cas, valeur ferment, garantie d’alibi. Centrée sur cas italiens, institution pionnière matière, l’étude cherche décrire l’œuvre espaces dont prérogatives ne sont plus muséologiques premier chef. Pour appréhender type d’exposition, notions forcément étrangères aux heritage studies convoquées, celles d’ancrage, trans-tourisme d’éthique écocentrée. Enfin, parce restent toute façon lieux véhiculant conception (au moins latente) du patrimoine qu’ils mettent l’honneur, l’image écrivains rendue par leur discours, scénographie leurs contenus demeure pertinente analyser. Dès lors, travers Gabriele D’Annunzio, représenté Italie deux sont, chacun façon, Vittoriale Parco letterario on pourra pousser questionnement topologique l’« effet parc littéraire.